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Pèlerinage des établissements oratoriens à Rome pour les 400 ans de la canonisation de Philippe Néri

Le 12 mars 1622, le pape Grégoire XV canonisait le Bienheureux Philippe Néri, florentin d’origine, mais ayant vécu quasiment toute sa vie à Rome, où il fondera l’Oratoire. C’est donc dans la « Ville Eternelle » que les quatre établissements scolaires sous tutelle oratorienne, à savoir Saint-Philippe-Néri à Juan-les-Pins, Massillon à Paris, Saint-Erembert à Saint-Germain-en-Laye et Saint-Martin à Pontoise, se sont retrouvés.

«Tous les sacrifices, même sincères et désintéressés, ne sont pas bons pour autant »

Comme elle est étonnante cette mère qui a sacrifié son identité à son mari et à ses enfants. C’est pour eux qu’elle se prosterne et parle au Maître. Abnégation extrême, réduite à l’entre soi familial.
Comme ils sont insolents et prétentieux ces fils manœuvriers qui ont envoyé leur mère porter leur requête au rabbi

« Ne vivons pas le carême à moitié ! »

Le livre de Jonas est une fiction, un conte plein de poésie et d’humour. Trois jours de marche à pied pour traverser Ninive, la capitale de l’Empire Assyrien, cela suppose un diamètre d’au moins soixante kilomètres ! Aucun document historique n’atteste de la conversion du roi de Ninive, et tout à l’avenant !… Mais le conte est un beau genre littéraire, et il peut être porteur d’un message important.

Soutien et prière pour l’Ukraine

À la suite du pape François et en union avec les évêques de France, j’appelle les catholiques de France à prier pour les Ukrainiens et pour le retour de la paix en Ukraine, pour toutes les victimes de la violence aveugle que porte la guerre. Prions aussi pour le peuple russe tout entier, dans sa diversité.

« Transmettre ce que nous avons reçu »

« Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance, en aimant le Seigneur ton Dieu, en écoutant sa voix, en vous attachant à lui » propose Moïse au peuple de Dieu en prenant à témoin le ciel et la terre. Les menaces qui pèsent aujourd’hui sur l’écosystème du vivant donnent à cette injonction de Moïse une actualité bien singulière.

« Laissons-nous exhorter à notre tour pour trouver et tenir notre rôle dans la croissance de l’Eglise ! »

De bons pasteurs qui connaissent et aiment leurs brebis, leurs ouailles ? Qui sentent l’odeur de la bergerie ? L’auteur de cette lettre de Pierre n’est peut-être pas l’apôtre lui-même mais il évolue dans un milieu littéraire et religieux marqué par la personnalité de l’ancien pêcheur de Galilée, frère d’André.

« Jean, le seul, est revenu au pied de la croix, où il nous a tous représentés »

On n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, (Matt. 5, 15) mais on la met sur le chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. Ainsi de Jésus, resplendissant de lumière au sommet de la montagne, irradiant sur toutes les générations de disciples. Certes, les témoins de cette Théophanie n’étaient qu’au nombre de trois