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Musique à Saint-Eustache : une tradition en mouvement, par Stéphane Hézode

« La messe n’est pas un spectacle, c’est la rencontre avec la Passion et la résurrection du Seigneur « . C’est par ces mots que le Pape, lors de l’audience générale du 8 novembre 2017, réagissait à  « l’élévation  » de nombreux téléphones. Si la finalité de la liturgie n’est pas purement esthétique, on n’assiste pas à  la messe comme on assiste à  un concert, il n’est évidemment pas question d’en bannir toutes formes artistiques.

Un regard universitaire sur les Å’uvres complètes de Pierre de Bérulle

« Ce quatrième volume de la nouvelle édition de la Correspondance de Pierre de Bérulle ne manquera donc pas de susciter l’attention des historiens de l’Église et de la spiritualité de l’époque moderne, car en plus de viser à  se substituer à  l’édition, désormais introuvable, de Jean Dagens (Paris, Desclée de Brouwer/Louvain, Bureaux de la Revue, 1937-1939, 3 tomes), elle offre plusieurs lettres inédites remarquables en raison de leur intérêt historique. « 

L’éditorial de la semaine. Le crucifix dans les bois

Jésus aime à  se réfugier dans les bois des cerfs au cœur des futaies profondes qui sont comme des églises de plein air. Chaque fois, c’est la même histoire, le noble animal se retourne lentement, majestueusement vers un cruel chasseur pour lui parler.

Table-ronde : « Louis Bouyer et l’Å“cuménisme »

Le hiatus entre les espérances soulevées par le mouvement oecuménique et les difficultés rencontrées sur le chemin de l’unité invite à  repenser en profondeur le mode de réconciliation des Églises. Bertrand Lesoing propose une voie possible à  explorer, en se mettant à  l’école de Louis Bouyer (1913-2004).

L’édito de la semaine. Toussaint, par Philippe Le Guillou

La Toussaint demeure pour moi, de façon intime, mystérieuse et forte, et en lien étroit avec Pâques, cet autre passage, de purification et de foi, parce que, dans ses élans et ses intermittences, notre vie spirituelle est avant tout une histoire de traversées et de renaissances.

Des Oratoriens méditent la Bible. Michel Quesnel (01.11.2017)

Certes, le « Jour des morts « , comme on dit, est marqué par la tristesse de séparations douloureuses. Mais il est aussi la célébration de ce que sont après leur mort des personnes qui ont été, au milieu de nous, porteuses d’une sainteté en germe.