De la même manière que c’est souvent de nuit que Jésus priait son Père, c’est aussi « de nuit » que le Christ rejoint ses disciples qui livrent le combat de la foi pour quitter les fantà´mes avec lesquels ils le confondent, et adhérer au « Fils de Dieu » en tant qu’il arrache à l’abà®me
La crise ! On en parle beaucoup en ce début de XXIe siècle ! Si cela peut nous consoler, les crises ne datent pas d’aujourd’hui. Le peuple de la Bible en a connu plusieurs…
O๠que nous soyons au cœur de cet été, nous voici donc à nouveau invités, dans les rencontres avec ceux qui s’activent pour notre plaisir et notre repos, à ouvrir nos yeux et nos oreilles, notre cœur d’enfant surtout.
Les Écritures, une fois de plus, nous enseignent que la Mission est confiée à des êtres faibles, faillibles, pécheurs, bien humains.
« Puisant dans la fidélité de son Père, la puissance de renouvellement qu’il incarne, le Christ rejoint chacun sur son itinéraire et lui demande ‘’ que puis-je faire pour toi ? » «
Une paroisse est un lieu de passage, personne ne peut penser en être le propriétaire, car nous sommes tous des étrangers à un moment donné. Même si ce n’est que pour un instant, même si on ne s’en souvient pas, il y a un jour où on a mis le pied par la première fois, comme des étrangers, dans ce bâtiment, qui, après, est devenu notre paroisse.
La congrégation de l’Oratoire de France renonce à servir les sanctuaires de Saint-Ferreol (Marseille) et de Saint-Bonaventure (Lyon), pour se consacrer à ses Å“uvres en ÃŽle-de-France. Le supérieur général en explicite les raisons, et remercie tous les laà¯cs et prêtres qui ont accompagné l’Oratoire dans ces deux lieux.
Appelé par sa congrégation à servir à Saint-Eustache à Paris, le Père Antoine Adam rend grâce de ce qu’il a reçu à Saint-Bonaventure, à Lyon.
L’été approche à grands pas et chacun partira vers ses horizons de plaisance. Pourtant, avant cette séparation physique ou géographique des membres de notre communauté ecclésiale, plusieurs fêtes viennent en souligner les liens, leur importance et leur fondement.
La Paroisse Saint-Eustache ne reçoit aucune subvention ni de l’État ni du Vatican ni du diocèse de Paris.
