Publications par communication@oratoire.org

100 ans !

Roger Thomas est né le 24 novembre 1922 à  Paris, dans le quartier de Bastille. Un siècle d’une vie si remplie, toujours au service des autres. Il y eut le scoutisme, qu’il a pratiqué enfant et auquel il a consacré une grande partie de sa vie, l’activité en paroisses, l’aumà´nerie en hà´pital psychiatrique, la Communion oratorienne et aujourd’hui encore, les liens créés dans la résidence Hélène Moutet à  Domont où il vit depuis plusieurs années et où il célèbre la messe chaque troisième mercredi du mois. Tentative d’esquisse d’un sacerdoce fait d’amitiés, de services, d’écoute et de patience.

« Tirons parti de la diversité »

L’épisode mythique de la Tour de Babel est présenté par la Bible comme un événement malheureux : la construction de cette tour dont le sommet serait dans les cieux est un geste dicté par l’orgueil

« Au milieu du jardin, l’arbre de vie »

Pour un grand nombre, ce n’est pas l’arbre de vie qui est au centre, mais « l’arbre de la connaissance du bien et du mal  » qui est mis en avant. Celui qui est l’objet d’un interdit. Certes structurant et libérateur, il nous fait oublier, s’il est placé au centre, qu’en réalité, au centre du don de Dieu, il y a « l’arbre de vie « 

Conférence à l’église Saint-Eustache le 31 janvier à 20h

« Quels accents anthropologiques retenir dans notre moment présent, à  partir de la confession christologique ?  »
 
Première conférence par Brigitte Cholvy, théologienne, Prof. Hon. à  l’ICP
Mardi 31 janvier à  20h
 
Les réflexions christologiques élaborées au cours du premier millénaire ont certes eu des incidences sur la compréhension de Dieu, mais aussi sur la compréhension de l’être humain. Dans le contexte actuel, croisant à  la fois des tendances post-humanistes et une situation de pluralisme, notamment religieux, il peut être intéressant de repérer sur quoi porter l’accent en anthropologie à  partir d’une compréhension christologique à  la fois héritière de la Tradition et renouvelée.
 

« La souveraine liberté du Christ déjoue nos replis communautaires »

« Il appela ceux qu’il voulait.  » Cet arbitraire de Jésus peut nous heurter, et d’autant plus si nous croyons que l’appel de Jésus résonne encore au cœur des humains. Ce faisant, nous considérons Jésus comme un chef ordinaire à  qui nous prêterions des calculs et des préoccupations humaines, trop humaines

Méditation biblique du P. Christian Durozoy

« Pourquoi baptises-tu ?  » demandent les envoyés des pharisiens à  Jean le Baptiste.
« Pourquoi plonges-tu ceux qui viennent à  toi dans les eaux du Jourdain ?  »
Jean serait-il le passeur attendu par tous ceux qui se souviennent de la promesse faite à  nos Pères,