En ce temps-là , Jésus entra dans un village. Une femme nommée Marthe le reçut. Elle avait une sœur appelée Marie qui, s'étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole. Quant à  Marthe, elle était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : "Seigneur, cela ne te fait rien que ma sœur m'ait laissé faire seule le service ? Dis-lui donc de m'aider. " Le Seigneur lui répondit : "Marthe, Marthe, tu te donnes du souci et tu t'agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas enlevée. "

"Il appela ceux qu'il voulait. " Cet arbitraire de Jésus peut nous heurter, et d'autant plus si nous croyons que l'appel de Jésus résonne encore au cœur des humains. Ce faisant, nous considérons Jésus comme un chef ordinaire à  qui nous prêterions des calculs et des préoccupations humaines, trop humaines

De bons pasteurs qui connaissent et aiment leurs brebis, leurs ouailles ? Qui sentent l'odeur de la bergerie ? L'auteur de cette lettre de Pierre n'est peut-être pas l'apà´tre lui-même mais il évolue dans un milieu littéraire et religieux marqué par la personnalité de l'ancien pêcheur de Galilée, frère d'André.

La blanquette d'Abraham et Sarah, l'agneau aux herbes de Moà¯se et le plat de lentilles d'Esa༠et Jacob sont au cœur de la 2e rencontre biblique partagée par Marc Pernot et Jérà´me Prigent .